Anesthésiques
à visée analgésiques |
>>
ANSM - Protocole d’utilisation à domicile des spécialités à base
de ropivacaïne 2 mg/ml, solution injectable en poche
(NAROPEINE et génériques) dans le cadre de l’analgésie
postopératoire par cathéter perinerveux - Recommandations
(09/05/2012)
Afin d’accompagner la dispensation et de préciser
davantage les conditions d’administration et de surveillance de ces
spécialités hors établissements de santé (suite inscription
sur la liste des produits rétrocédables, JO du 4
mai), un protocole spécifique a été
rédigé et mis à disposition sur le site de
l’ANSM
|
Chlorure
de potassium injectable |
>> Cf. page concernée du dossier "sécurité du
médicament à l'hôpital" (ANSM) : ici |
>> Chlorure de potassium injectable
(affichette
AFSSaPS) sécurisation de
l'administration |
Médicaments à
action sur la Coagulation |
30/08/12 L’Agence européenne des médicaments (EMA) contre-indique
le dabigatran (pradaxa) avec la dronédarone (multaq) |
>> Accès Dossier
risque d'erreur et AVK sur le site ANSM - et dossier général médicaments AVK |
>> Rapport
thématique AVK : Etat des lieux et surveillance en France (ANSM -
26/07/12) |
>>
Mise au point ANSM/HAS sur les médicaments
anti agrégants plaquettaires (27/06/12)
L’Agence nationale de sécurité du
médicament et des produits de santé (Ansm) et la Haute Autorité de
Santé (HAS), ont élaboré des Recommandations
de Bonne Pratique concernant le «Bon usage des agents
antiplaquettaires» |
>> Risque hémorragique lié au dabigatran
(Pradaxa) - Point d'information (ANSM/EMA) (25/05/12)
L’analyse de l’ensemble des données disponibles sur le
risque hémorragique, y compris celles provenant de la surveillance
après commercialisation, confirment que la balance bénéfice/risque
de ce médicament anticoagulant oral reste positive, mais que des
modifications de l’information-produit (RCP, notice) sont
nécessaires afin de préciser ses conditions d’utilisation et de
surveillance.
Recommandations actualisées à destination des médecins
prescripteurs
- Les précautions d’emploi de Pradaxa quant au risque
de saignement doivent être respectées, en particulier en ce qui
concerne la fonction rénale ; celle-ci doit être
systématiquement évaluée avant la mise en route du traitement,
puis en cas de détérioration avérée ou suspectée de la fonction
rénale, afin d’adapter si besoin les doses journalières du
produit.
- Il est rappelé que Pradaxa ne doit pas être utilisé
en cas de lésion ou à de situation à risque de saignement majeur.
- Pradaxa ne doit pas être associé à un autre
anticoagulant, sauf dans le cadre d’un relais (passage d’un autre
anticoagulant à Pradaxa ou inversement).
|
> >
RAPPEL : Précautions d’emploi des nouveaux
anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation
auriculaire |
>
> Levée de la suspension
d'autorisation de Trasylol® (aprotinine) et restriction
d’indication
Trasylol® (aprotinine) est un médicament
destiné à traiter les syndromes hémorragiques et à prévenir les
risques hémorragiques en chirurgie cardiaque, chez les patients à
très haut risque de saignements. Il avait été suspendu en 2008 à la
suite des premiers résultats de l’étude BART ayant montré une
mortalité plus importante chez les patients traités par aprotinine.
L’étude BART était destinée à comparer l’efficacité et la sécurité
de l’aprotinine, de l’acide aminocaproïque et de l’acide
tranéxamique chez 2331 patients devant subir une chirurgie cardiaque
à haut risque hémorragique et nécessitant une circulation
extracorporelle. Le CHMP a revu l’ensemble des données
disponibles à ce jour et a constaté que les résultats de l'étude BART
n’ont pas été retrouvés dans d'autres études. De plus ces données ont
montré que le rapport bénéfice/risque de l’aprotinine était favorable
dans une indication restreinte : en cas de pontage coronaire isolé
chez un patient à très haut risque de saignement. Source
: CR AFSSaPS, sous-commission AMM du
08/03/12 |
> > RBP_Hbpm_Surveillance-plaquettaire_octobre2011.pdf |
> >
Iatrogénie et AVK - exemple de travail à partir d'erreurs
identifiées (HAS)
|
Médicaments du
Diabète |
>> Le dossier thématique diabète (site
ANSM) propose des informations et des recommandations d’utilisation
sur les dispositifs impliqués dans la prise en charge du
diabète |
>> Accès Dossier erreurs d'administration d'Insuline sur le site
ANSM |
>>
Insuline glargine
(Lantus) et risque de cancer : résultats d’une
étude réalisée par la CNAMTS à la demande de l’ANSM - Point d'information
(24/07/12)
La principale conclusion est qu’il n’a pas été observé
d’augmentation significative du risque de cancer avec la consommation
d’insuline glargine.L’ANSM rappelle cependant que les recommandations
de dépistage du cancer du sein et du cancer colo-rectal intéressent
toute la population âgée de 50 ans ou plus et que, par conséquent,
elles concernent la majorité des patients diabétiques de type 2,
qu’ils soient ou non traités par insuline. |
> >
Fiche de bon usage HAS - L’autosurveillance glycémique dans le diabète de type 2 (2011) |
Gaz à usage
médical |
>>
Juillet 2012 :
nouveau dossier spécifique site ANSM - Gaz à usage médical
|
>> Dossier ANSM
: erreur d'administration de gaz à usage médical |
Médicaments à marge thérapeutique
étroite |
> > Mise en garde pour les spécialités à base
de colchicine - Point d’information
26/09/2011
La colchicine est un
médicament à marge thérapeutique étroite et soumis, de par son
métabolisme, à de nombreuses interactions et
contre-indications.
L’Afssaps a été informée de la survenue de nouveaux
cas d’effets indésirables graves liés à des interactions
médicamenteuses ayant entraîné des surdosages. Le signalement le
plus récent porte sur une patiente traitée par Colchimax® qui est
décédée quelques jours après l’introduction de clarithromycine,
cette association ayant entraîné un surdosage en colchicine.
L’Afssaps souhaite donc rappeler aux prescripteurs
l’importance pour les médicaments à base de colchicine
(Colchicine opocalcium® et Colchimax®) du respect
des indications, des contre-indications, des interactions, des
précautions (notamment adaptation posologique et
sujet âgé de plus de 75 ans). |
Méthotrexate per
os |
>> Méthotrexate par voie orale : décès liés à des
erreurs de prescription ou d’administration - Communiqué (12/07/2011)
L’Afssaps souhaite rappeler l’importance de la prise unique hebdomadaire de médicaments à
base de méthotrexate par voie orale (Novatrex®, Methotrexate Bellon®
et Imeth®). En effet, l’Afssaps a été informée récemment de la
survenue de cas d’effets indésirables graves, parfois d’issue
fatale, liés à des erreurs médicamenteuses avec les spécialités à
base de méthotrexate par voie orale.Alors que l’autorisation de mise
sur le marché indique que la prise de ces médicaments doit être
hebdomadaire, ces traitements ont été pris de manière quotidienne à la
suite d’erreurs de prescription ou
d’administration |
Médicaments à
risque de mésusages - psychotropes et
stupéfiants |
Les nouvelles modalités s'appliquent uniquement aux prescriptions effectuées par les pharmacies
d'officine : Stablon® (tianeptine) : modification des conditions de
prescriptiion et de délivrance à partir du 3 septembre 2012 - Lettre
aux professionnels de santé (24/07/12) - Lien
vers le texte réglementaire : JO du 27/07/12, texte 4
Stupéfiants et
psychotropes - Compte rendu de la commission du 19/04/2012 (ANSM, 24/07/12) |
>>
Parution au JO du
10/06/12 de la décision communiquée par l'ANSM le 9 mai 2012 - Décision du 12 avril
2012 portant restriction à l'importation, la préparation, la
prescription et la délivrance de préparations magistrales,
officinales et hospitalières définies à l'article L. 5121-1 du code
de la santé publique, y compris de préparations homéopathiques,
contenant l'une des substances suivantes :
almitrine, bupropion, chlordiazépoxide, duloxétine, naltrexone,
pirfénidone, roflumilast ou venlafaxine
clorazépate dipotassique, diazépam, fluoxétine,
furosémide, hydrochlorothiazide, imipramine, metformine,
méthylphénidate, paroxétine, spironolactone ou
topiramate
Il
s'agit d'une interdiction pour les substances suivantes
: clenbutérol, du clonazépam, de l'exénatide, du
liraglutide, du méprobamate, de l'orlistat ou de la
synéphrine |
Stupéfiants |
>> Nouveau dossier général sur le site de l'AFSSaPS :
|
Surveillance des stupéfiants et des
psychotropes (07/03/12) -
informations, surveillance et suivi du risque d'usage détourné ou de
dépendance
Le tableau de l'AFSSaPS reprend les
produits concernés et le(s) risque(s) identifié(s). |
Réglementation (voir aussi page Informations réglementaires spécifiques
médts) |
>> STABLON (tianeptine) : modification des
conditions de prescription et délivrance
:Arrêté du 28 juin 2012 portant application d'une partie de
la réglementation des stupéfiants aux médicaments à base de
tianeptine administrés par voie orale JO du 27/07/12, texte 4 |
>> Arrêté du 16 avril 2012 portant application de la
réglementation des stupéfiants aux médicaments à base de midazolam
administrés par voie
orale |
>>
Arrêté du 9 mars 2012 portant application de la réglementation
des stupéfiants aux médicaments à base de flunitrazépam administrés par voie
orale, aux médicaments à base de buprénorphine administrés par voie
orale, aux médicaments à base de clonazépam administrés par voie orale et
à certains médicaments à base de clorazépate dipotassique administrés par
voie orale |
Analgésiques opiacés |
> >
Initiation et suivi du traitement
substitutif de la pharmacodépendance majeure aux opiacés par buprénorphine
haut dosage (BHD) - Mise au point
11/10/2011 Accès aux points clés : ICI.
Buprenorphine-messages cles
Afssaps_octobre2011.pdf |
|